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Le médusé

Balade à Barcelone

28 Février 2018, 18:17pm

Publié par Thomas Clément

Balade à Barcelone

Dernièrement, ma femme et moi avons effectué un voyage de groupe à Barcelone où nous avons fait connaissance avec des personnes très différentes. Au cours du séjour, nous sommes devenus très complices avec certaines d'entre elles et avons passé une bonne partie de notre temps ensemble. Seulement, comme c'est souvent le cas lorsqu'on fait connaissance avec de nouvelles personnes, nous avons tout de même été ébahis par leur manque de préparation en matière de santé. Non que je sois moi-même un spécialiste de la question, mais cela a forcément ma femme qui s'occupe avant chaque départ de la trousse à pharmacie. L'un des enfants de ce couple est effectivement tombé malade, et ses parents n'avaient de fait absolument rien avec eux pour les soigner. Il s'agissait certes d'une simple bronchite, mais cela aurait tout aussi bien pu être beaucoup plus grave. Cela m'a donné envie de partager avec vous deux-trois trucs primordiaux qu'on ne doit jamais oublier quand on voyage avec des gamins. Dans une trousse à pharmacie de voyage, il ne faut bien évidemment pas s'embarrasser de choses futiles (poids et encombrement des bagages oblige). Mais il ne faut pas non plus oublier les fondamentaux pour autant ! En plus des médicaments propres au pays ciblé, il faut toujours prendre ceux qui conviennent aux fragilités de votre gosse. A première vue, on n'a pas à se soucier de bronchites sous des cieux ensoleillés. Toutefois, si votre rejeton a une faiblesse à ce niveau, il peut tout aussi bien tomber malade dans une chambre avec une clim mal réglée, par exemple (ce qui s'est produit pour l'enfant dont il est question). Je crois qu'il est essentiel de bien composer votre pharmacie, losrque vous voyagez avec des enfants. Pour vous y retrouver, vous pouvez par exemple faire deux sachets — un pour les adultes et un pour les enfants — rassemblés dans un même endroit, avec une autre trousse pour les produits élémentaires : mercurochrome, pansements, etc... Parce que même si c'est encombrant et souvent inutile, les fois où cela sert, c'est tout de même rudement utile ! En tout cas, j'ai été séduit par ce voyage de groupe. D'ailleurs, je vous mets en lien le site où nous avons déniché ce voyage, si la destination vous tente ! Plus d'information est disponible sur le site de l'agence du voyage groupe à Barcelone. Cliquez sur le lien.

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La situation en CHU

20 Février 2018, 16:56pm

Publié par Thomas Clément

Dans le domaine de la formation, le relèvement du numerus clausus provoque mécaniquement une augmentation du nombre d’étudiants en médecine, puis du nombre d’internes au cours des années suivantes. Entre 2005 et 2015, le nombre d’étudiants en médecine, pharmacie et odontologie est ainsi passé de 176 213 à 223 530 (+ 27 %). Les personnels hospitalo-universitaires ne paraissent pas en mesure de faire face à eux seuls à ces évolutions, pour des raisons qui tiennent à leur nombre réduit, à leur répartition inégale sur le territoire et à la prise en compte nécessaire dans les enseignements de la diversité des exercices professionnels. Les effectifs de personnels hospitalo-universitaires sont pratiquement stables depuis 2000 et le mode de révision des effectifs hospitalo-universitaires est peu propice à une redistribution par territoire ou par spécialité. Ces mutations conduisent à faire intervenir davantage de personnels non hospitalouniversitaires (praticiens hospitaliers, médecins libéraux) dans la formation médicale pratique. Si les CHU demeurent la catégorie d’établissement qui accueille le plus grand nombre d’internes en valeur absolue, les stages effectués en CHU ne représentent plus désormais que la moitié des stages effectués. Au niveau national, sur la période 2000-2015, l’augmentation du nombre d’internes accueillis dans les CHR-U (+ 55,4 %) a été inférieure à celle des internes accueillis dans les centres hospitaliers (+ 100 %), les autres établissements publics (+ 149 %) ou les établissements privés. La part des internes accueillis en CHR-U est passée de 60 % en 2000 à 54 % en 2015. Dans ce cadre, les universités sont appelées à jouer un rôle accru dans l’organisation des formations pratiques, elles seules étant en mesure d’assurer la cohérence des parcours de formation entre les CHU et les autres lieux de stage et de contrôler l’aptitude de l’ensemble des acteurs à accueillir et former les étudiants.

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